Description
L’auteure est professeur titulaire au département de didactique de l’Université de Montréal.
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Ce réseau vise l’intégration du français et des sciences.
Plus précisément, pour ce qui est du français, il contribue au développement lexical des élèves. Si la re-cherche accorde une attention soutenue aux premiers apprentissages lexicaux et à la relation entre cet apprentissage et celui de la lecture, les travaux relatifs aux élèves plus âgés sont nettement moins fréquents. Ehrlich, Bramaud du Boucheron et Florin (1978) indiquent, dans leur recherche conduite auprès d’élèves entre le CE1 (2e année) et le CM2 (5e année), que le nombre de mots connus n’est pas loin de doubler lors de ces quatre années, passant d’un peu plus de 5 400 à un peu plus de 9 400. En plus des mots fonctionnels acquis généralement tôt, le vocabulaire technique propre aux différentes disciplines scolaires contribue à cet accroissement. À ce sujet, l’éducation scientifique implique de nombreuses connaissances lexicales, notamment celles relatives à la hiérarchisation (ex. agru-me : orange, citron, clémentine…; conifère : sapin, pin, cyprès…) et celles à propos des affixes.
L’auteure est professeur titulaire au département de didactique de l’Université de Montréal.
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